Les 5 étapes du deuil de l’animal de compagnie
Le choc et le déni
Même si le départ était prévisible, la mort d’un proche, membre de la famille, ami ou animal de compagnie, provoque un choc, souvent accompagné du déni, refus de la situation. Cet état peut être source de torpeur ou d’un débordement d’émotions, forme de défense de l’esprit face à une situation qui parait tout d’abord ingérable.
La détresse suivie de la dépression
Après le choc du décès viennent les premières confrontations à l’absence et à la perturbation des repères. Cela peut se traduire par des manifestations physiques, comportementales et émotionnelles (pleurs, perte d’appétit, du sommeil, palpitations, fatigue, migraine, agressivité, culpabilité, isolement…) assimilables à une dépression, mais phase normale du travail de deuil.
La reconstruction et l’acceptation
Faire son deuil, ce n’est pas oublier quelqu’un d’inoubliable. C’est accepter la mort et apprendre à vivre sans la personne ou l’animal aimés. On réorganise son quotidien et on prend de nouveaux repères, jusqu’à sortir de sa torpeur et de sa douleur pour ne se souvenir que du meilleur.