Baromètre Esthima 2024 : Les Français et la fin de vie de leur animal de compagnie
Deuil animalier : Un sujet encore tabou dans la sphère privée
Cette étude révèle que près de la moitié des répondants (44,7 %) reconnaissent la douleur ressentie par les proches lors du décès d’un animal de compagnie, illustrant ainsi l’importance émotionnelle de cette perte.
Cependant, malgré cette reconnaissance de la douleur, seulement 13,2 % des répondants ont recherché des conseils auprès de leurs proches pour organiser les obsèques de leur animal, indiquant un besoin de soutien et de ressources dans ce domaine.
Un manque de soutien dans la sphère professionnelle
Un constat alarmant ressort également de l’étude : près de 60 % des répondants ne se sont pas sentis soutenus par leur employeur lors du décès de leur animal de compagnie, et plus de la moitié (52,2 %) auraient souhaité bénéficier d’un jour de congé pour faire leur deuil. Cette donnée soulève la question de la reconnaissance et du soutien de la part des entreprises vis-à-vis du deuil lié à la perte d’un animal de compagnie. Plusieurs entreprises (dont Esthima !) ont mis en place une journée de congé dédiée au deuil d’un animal.
Organiser le souvenir de son animal décédé
L’étude révèle les attentes précieuses et les préoccupations des propriétaires d’animaux concernant les services commémoratifs pour leurs compagnons bien-aimés.
La prise en charge, le respect du corps et la possibilité de conserver un souvenir sont des critères essentiels dans le choix des obsèques pour près de 87,4 % des répondants, soulignant ainsi l’importance de considérer l’animal comme un membre à part entière de la famille. Ils sont ainsi 23,4% à souhaiter conserver une urne funéraire à domicile (+6,7%).
Chez Esthima, nous nous engageons à toujours mieux comprendre et répondre aux besoins des familles après le départ de leur compagnon.
L’infographie
Découvrez en intégralité l’infographie sur les français et la fin de vie de leur animal de compagnie.